Il est temps de vous révéler l’identité du cékoidon. Tout d’abord
il est posé sur une table ce qui vient en trompe l’œil. Je gage que les
écrivains ont cherché à nous distraire et c’était réussi.
Le cékoidon est une machine qui servait aux apothicaires à fabriquer des suppositoires.
Alors comment ça marche…. Là je n’ai pas le mode d’emploi mais les plus ingénieux
en auront une petite idée.
Eh oui le suppo existe depuis longtemps peut-être même
depuis l’antiquité. Il est pour la première fois bien identifié dans La
Médecine des pauvres, ouvrage d’un savant arabe du Xe siècle qui parle d'un
pénis de loup séché et pulvérisé, mélangé avec du musc, du safran et des clous
de girofle. Mais il a connu ses heures de gloire dès le XVIIème siècle… Gageons
que monsieur Diafoirus lui-même l’utilisait.
Bonne vacances à tous !
"Moulage de balles en plomb" dis-je, pas loin pour la forme, mais usage tout autre...
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